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  • : Les Humeurs de Svetambre
  • : Je n'aime pas les étiquettes, les catégories, les petites cases... je m'y sens à l'étroit. J'ai l'intention de parler de bien des choses, ici ! De mes livres ou de ceux que j'ai lus, de mon travail ou de ma famille, de ce qui me fait hurler et de ce qui me fait jouir de la vie...
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  • Lucie Chenu
  • Je suis un être humain, Yeah ! et comme tout être humain, je possède trop de facettes, trop d'identités, pour les définir en moins de 250 caractères. Vous devez donc lire mes articles !
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23 avril 2009 4 23 /04 /avril /2009 00:08

Ca fait un moment que je veux faire ça, une revue de presse de cette antho. Il faut dire que les libraires ayant commandé bien plus d'ouvrages que ne l'avait prévu le diffuseur (on ne va pas se plaindre, hein ?), Terre de Brume n'a pas pu envoyer autant de SP que prévu. Les critiques de mon antho de fantasy urbano-arthurienne, De Brocéliande en Avalon, sont donc peu nombreuses (et d'ailleurs, si vous en connaissez qui m'auraient échappé, n'hésitez pas à me les signaler !). Mais il y en a quand-même quelques-unes.

 



Dans Le Monde du 11.07.08, Jacques Baudou écrit : De Brocéliande en Avalon revisite la légende arthurienne avec des textes situés à l'époque contemporaine ou dans le futur (à l'instar de la nouvelle de Pierre Bordage « Fort 53 »), redonne vie à des figures mythiques en leurs incarnations modernes, parfois de façon iconoclaste, ainsi du Merlin dessiné par Rachel Tanner, au profit d'une réhabilitation de Morgane. Le sommaire est dominé par une belle nouvelle de Megan Lindholm et surtout par « L'île close » de Lionel Davoust, étourdissante mise en abyme de la saga d'Arthur.

Sur ActuSF; Pierre Demetz note que « l’idée de Lucie Chenu de transposer ce mythe à notre époque ne choque pas, bien au contraire. Cette démarche respecte le caractère sacré de cette légende et ne le déforme pas. Ces "chevaliers modernes" n’en ressortent que plus humains.
Voici une anthologie qui traite un sujet très classique de manière fort originale
 »


Pour Kalys, sur Psychovision, « Vous l'aurez compris, ce recueil est d'une qualité exceptionnelle ! » mais il faut lire l’appréciation, l’analyse, qu’elle fait de chaque nouvelle, avec infiniment de cœur. C’est une critique qui touche, parce qu’elle est positive, bien sûr, mais surtout par sa sincérité, son enthousiasme. Rencontrer un lecteur de cette façon-là a quelque chose de magique… Ça efface les moments de doute et de découragement ! Lisez plutôt : « La plume de Jean Millemann découvre, à chaque arabesque, les richesses de Brocéliande. Elle sait le bruit de l'eau qui cascade, et la présence éphémère d'une libellule. Et l'on referme le livre pour savourer ce premier texte, et pour re-sentir la sérénité qui s'épanouit dans les veines quand l'on comprend que la magie et la poésie sont en nous-mêmes (…) Deirdre Laurin est une magicienne, elle aussi. Ses mots sont les fils de la trame (…)Le style de Rachel Tanner ne manque pas de piquant, et elle a un réel talent pour raconter des histoires et créer des personnages convaincants. » Je ne peux pas vous copier toute la chronique, mais je vous incite fortement à aller la lire.

 En commentaire sur Amazon, on peut lire « anthologie passionnante qu'on relira sans aucun doute plus d'une fois » et « Des auteurs de talent au service d'un mythe mainte fois exploré qui parviennent malgré tout à nous surprendre ! »

 

Et les bloggers s’expriment. Cédric Jeanneret trouve que «  ces nouvelles sont, dans l'ensemble, excellentes et agréables à lire », Moira, du Conseil Comyn, a particulièrement apprécié les nouvelles de Nathalie Dau, Megan Lindholm et Léa Silhol. Pour Lhisbei, De Brocéliande en Avalon est « une anthologie de qualité, très riche dans laquelle les nouvelles se suivent et ne se ressemblent pas. » et cela, même si elle n’a pas aimé tous les textes.

 

Enfin, je rappelle que la nouvelle de Lionel Davoust, « L’Île close », était nominée au Grand Prix de l’Imaginaire 2008, qu’elle a été publiée sur Utopod en deux parties : partie 1 et partie 2, et qu’elle va être traduite et paraître aux États-Unis, dans l’anthologie Interfictions 2 dirigée par Delia Sherman et Christopher Barzak.

 

Ce blog est appelé à être mis à jour régulièrement au fil des chroniques que je (re)découvrirai… Si vous en voyez passer, n’hésitez pas à me le faire savoir !

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Published by Lucie Chenu - dans Livres - édition