Chère Gudule,
Ça fait des jours, si ce n’est des semaines, que je veux t’écrire. Et puis je ne trouvais pas les mots, je ne savais pas comment te dire. Te dire merci. Merci pour Le Bel Été, que tu m’as offert. Merci surtout de l’avoir écrit.
Ce Bel Été, j’en connaissais l’histoire. Ton deuil, l’ami fidèle qui est là pour te soutenir, et l’amour qui vous tombe dessus. Et puis la saleté de maladie. Je connaissais l’histoire par ce que tu m’en avais raconté, et parce que tu l’avais pré-publié sur ton blog – mais lire le livre est autrement plus jouissif :-)
Gudule, je n’aurai jamais autant ri à lire des descriptions d’hôpitaux et de soins. Les Desperate Housewives peuvent se rhabiller, tu les bats à plate couture ! Et c’est de ça que je veux te remercier. Ton livre devrait être distribué dans toutes les salles d’attente de tous les cabinets médicaux, parce qu’il fait du bien, parce qu’il rend heureux, envers et contre les sales trucs qui nous tombent dessus. Je suis tombée amoureuse de Castor – non, rassure-toi, du personnage de Castor que j’ai envie d’embrasser pour avoir été et être toujours là (tu lui diras, hein ?)
Donc voilà, bizarrement, j’ai eu du mal à mettre ça par écrit, sans doute parce que ça touchait quelque chose de particulièrement sensible en moi. Et aussi je voulais de rendre publique cette lettre. J’espère que ça ne te gêne pas, mais vraiment, Le Bel Été rentre dans mon top trois des livres à partager parce qu’ils font du bien à l’âme, et j’ai envie de le faire savoir.
Donc tous, qui me lisez, allez faire un tour sur le blog de Gudule où est indiqué comment se procurer ce petit et si grand ouvrage. En plus, on peut le recevoir dédicacé !