Or donc, je vous avais promis de vous raconter la suite de Mes Étonnants Voyageurs, et de vous donner quelques photos. J'ai traîné, mais c'est pour la bonne cause, puisque dans mon article précédent, je vous ai parlé de la scandaleuse rupture de contrat des éditions Classiques Garnier vis à vis d'Anne Larue, concernant son ouvrage Fiction, féminisme et postmodernité. Les voies subversives du roman contemporain à grand succès, brutalement retiré de la vente par l'éditeur deux semaines après sa parution. Dorénavant, lorsqu'un libraire commande le livre, il reçoit en réponse "ce textes est momentanément indisponible". J'espère que le moment sera très bref, parce que non seulement c'est scandaleux, mais en plus, c'est priver les lecteurs d'un livre passionnant.
Pour en revenir aux Étonnants Voyageurs, voici quelques photos que j'ai pris plaisir à faire, durant mes pauses, le samedi après-midi.
Et là, je ne sais pas pourquoi, over-blog me plante, m'interdisant de mettre toutes mes photos dans un album. Bon, on va essayer de ruser...
Et ça marche ! Tout d'abord, voici Catherine Dufour qui ne se sait pas observée
et lit, tranquillement, sur le stand de la librairie de l'Atalante
et le stand d'ActuSF.
Il y avait quelque chose d'assez surréaliste à intervertir les rôles, à les photographier, alors que d'habitude, c'est l'inverse, c'est ActuSF le reporter
Allez, encore une
et une dernière...
Et puis, au détour d'une allée, j'ai vu Jacques Baudou, en train de dédicacer son encyclopédie de la Fantasy, primée au GPI (ça se passait avant la remise du prix, mais bon, on va pas chipoter). Et là, il s'est passé quelque chose de marrant. J'ai pris une première photo
et j'ai eu l'impression qu'elle était totalement floue. Alors j'en ai pris une autre
et je l'ai encore crue floue. Donc, j'ai insisté, et Jacques, qui s'était aperçu de mon manège aussi discret qu'un éléphant dans un salon de verroterie, avait bien du mal à garder son sérieux.
Ce qui donne un sourire superbe
Et puis, il y en a un autre que j'ai tenté de pister, mais à chaque fois que j'allais appuyer sur le déclencheur, quelqu'un passait devant. J'ai tout de même réussi à attraper un quart de visage, avec la manche d'un lecteur qui lui fait une drôle de coiffe. Voici Stéphane Manfredo qu'il est bô !
Et puis, bien sûr, j'ai photographié quelques-uns de mes voisins de stand. Pas tous, hélas, je n'ai pas Justine Niogret, ni Victor Dixen (mais bon, vous les avez en video sur l'article ante-précédent), ni Yan Marchand ni Patrice Lajoye, qui ne sont arrivés que le dimanche (et le dimanche, je n'ai pas sorti mon appareil, je n'ai pas vu la journée passer).
mais j'ai tout de même une bonne partie de la Rivière Blanche team, à savoir :
Master Philippe Ward himself, avec sa gentillesse, son badge d'éditeur et son tee-shirt de supporter toulousain !
Lionel Davoust et Xavier Dollo, alias Thomas Geha, mes complices rennais flammagoristes (entre moult autres choses ;-))
Encore Lionel...
David S. Khara, qui n'en revient pas du succès des Vestiges de l'Aube
Le sourire tout à la fois fatigué et rayonnant de Sylvie Miller...
Et puis, il s'est passé quelque chose de bizarre. Une étrange créature, toute de rouge coiffée, a séduit Thomas Geha
s'est emparée de son Sabre de Sang...
et l'a vendu à la criée !!
Et pendant ce temps-là, une terrible métamorphose se poursuivait sur le stand de la librairie Critic :
nous apprîmes qu'un ours des Pyrénées, égaré, on ne sait comment, au nord de la Bretagne, était devenu un super-héros...
Incroyable Hulk ou Docteur Jekyll & Mister Hyde ?
Solenn et moi le poursuivîmes vaillamment
à travers les couloirs du Salon
craignant qu'il ne terrorise les visiteurs
nous nous félicitâmes de notre succès
et récupérâmes le chef de la RB-team
sain et sauf, et prêt à nous faire bosser
Pendant ce temps, ma petite famille était arrivée et mon chéri, ne voulant pas être de reste, se mit à me mitrailler. Ô surprise, j'ai trouvé quelques photos où je ne me déplaisais pas
Et une petite dernière, pour la route ?