20 janvier 2009
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17:15
Tarnac ou les fantasmes du pouvoir, Gabrielle Hallez témoigne de l'absurdité et de l'horreur de son expérience.
Je crois que nous sommes entrés en résistance, mais que nous ne le savons pas encore. Nous ne savons pas encore comment faire, comment lutter, contre un pouvoir de plus en plus totalitaire, de moins en moins démocratique, qui ne cherche plus à respecter ou faire respecter les lois, qui fait voter des lois pour mettre la république à sa botte. Et qui casse. Méthodiquement. Le système de protection sociale, les hôpitaux (la gauche avait commencé), les tribunaux de proximité, les juges d'instruction (seuls indépendants). Ne parlons pas de la culture qui se mesure en termes de top 50, ni de l'éducation nationale, qui se veut bradée ou privatisée, ni des medias !
En clair : que reste-t-il qui fonctionne à peu près correctement, dans ce pays ? Les banques ?
Je crois que nous sommes entrés en résistance, mais que nous ne le savons pas encore. Nous ne savons pas encore comment faire, comment lutter, contre un pouvoir de plus en plus totalitaire, de moins en moins démocratique, qui ne cherche plus à respecter ou faire respecter les lois, qui fait voter des lois pour mettre la république à sa botte. Et qui casse. Méthodiquement. Le système de protection sociale, les hôpitaux (la gauche avait commencé), les tribunaux de proximité, les juges d'instruction (seuls indépendants). Ne parlons pas de la culture qui se mesure en termes de top 50, ni de l'éducation nationale, qui se veut bradée ou privatisée, ni des medias !
En clair : que reste-t-il qui fonctionne à peu près correctement, dans ce pays ? Les banques ?
Published by Lucie Chenu
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dans
Cri du coeur